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L’Entrepôt – Paris

Réservez en ligne

7 Rue Francis de Pressensé, 75014 Paris

Tel : 01 45 40 07 50

Ouvert du mardi au samedi de 19h00 à 22h00

et du mercredi au samedi de 12h00 à 14h00

Menus déjeuner : 21€ et 26€

Menus du soir et du samedi midi : 42€ et 52€

Contact: [email protected]

 

L’Entrepôt – Paris

Réservez en ligne

7 Rue Francis de Pressensé, 75014 Paris

Tel : 01 45 40 07 50

Ouvert du mardi au samedi de 19h00 à 22h00

et du mercredi au samedi de 12h00 à 14h00

Menus déjeuner : 21€ et 26€

Menus du soir et du samedi midi : 42€ et 52€

Contact: [email protected]

 

A la manière d’un incubateur, Fulgurances accueille les étoiles montantes à cuisiner en résidence dans sa maison mère depuis 2015 dans le 11ème arrondissement de Paris. 

Depuis l’ouverture de Fulgurances l’Adresse, nous avons croisé beaucoup de cuisiniers brillants avides de s’exprimer dans un autre registre que gastronomique. Nous cherchions un projet qui puisse répondre à leur envie de liberté de ton. Quand Charles Gillibert et Stéphane Magnan nous ont contactés pour faire revivre l’espace restauration de l’Entrepôt, notre idée de cantine débridée et vivante, toujours avec des chefs en résidence, s’est alors imposée.

Nous nous sommes aperçus qu’il existe peu de lieux à Paris où l’on mange bien, où l’on boit bien, dans un esprit festif et informel avec une dimension mouvante et une réelle implication culturelle. C’est ce que nous souhaitons créer avec Fulgurances à l’Entrepôt par le choix de nos chefs résidents, les capsules en lien avec la programmation cinéma et quelques événements ponctuels qui font sens en ce lieu. 

William Cottier est notre chef exécutif. Il accueille nos résidents et les guide pour qu’ils donnent le meilleur d’eux-mêmes. Avec sa brigade, il assure les déjeuners du mercredi au vendredi.

photos : Laurence Revol

 


En résidence

En ce moment

Reece Moore

avril à juillet 2023

Reece Moore est australien. Il a commencé, dès le plus jeune âge, à cuisiner auprès de son père, chef lui-même. C’est à 17 ans qu’il entre dans une école de cuisine, déjà animé par la passion du bon produit. Très vite, il monte un restaurant local avec un groupe d’amis, reconnu par la critique. Mais cette expérience fondatrice ne lui suffit pas, il ressent le besoin de travailler en Europe en quête de techniques et d’identités fortes et intègre (entre autres) The Square, Dabbous, Portland, The Lecture room and Library, Texture, des restaurants étoilés et reconnus à Londres. A 23 ans, il devient sous-chef puis chef de Bao. Après cette période intense en apprentissages et en responsabilités, Reece ressent le besoin de s’affirmer et de vivre de nouvelles aventures. Il part faire un pop à Washington DC puis retourne en Europe, fait des événements avec d’autres chefs chez Clove Club et part à Paris pour cuisiner chez Early June, ou bar Rebel à Bruxelles, toujours dans cette quête de s’exprimer en son nom. Reece Moore a la passion du métier chevillé au cœur. Il parle de son goût de la transmission et surtout il est insatiable sur sa démarche éco-responsable qui vise à sourcer inlassablement les poissons pêchés à la ligne ou les crustacés de plongée, les vaches matures, le mouton plutôt que l’agneau, dans cette logique de ne pas consommer les viandes abattues au plus jeune âge. Son style, il le définit comme lisible, pur, immédiat, pour ne jamais perdre celui ou celle qui goûte ses assiettes. “Dans mes plats, je recherche toujours le gras, l’acide, l’amer et le sel” et un côté canaille qui va très bien avec son sourire.


Ils ont fait l'adresse

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William Cottier

janvier - avril 2023

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Aviv Ettinger

novembre - décembre 2022

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Max Tuckwell

août - octobre 2022

Max Tuckwell et Fulgurances, c’est une longue histoire. Elle remonte à 2016 quand Max nous rejoint à l’Adresse, il accepte par amitié le rôle de plongeur. Pendant plusieurs mois, il ne se démonte pas devant la tâche, mieux il décide d’arriver plus tôt le matin pour prêter main forte à la cuisine. Chloé, Amélie, Pierre peuvent témoigner. Non seulement Max est très efficace mais il a déjà une sensibilité très forte en cuisine. En effet, petit, sa mère, le voyait soit réalisateur, soit chef. Elle a vu juste. Il goûte très bien, est curieux de tout. Veut tout apprendre. Autodidacte, il garde de son passé de coordinateur de production dans l’univers de la publicité, d’être un homme d’action, toujours prêt à régler une situation inextricable, un homme de confiance. Pour la dimension événementielle de Fulgurances, quel soulagement de l’avoir à nos côtés.

Le temps passe. Max a envie d’explorer le côté salle, tout en gardant toujours un pied en cuisine. Avec les clients, il crée de véritables relations, les habitués nous en parlent encore. Il raconte la naissance de notre projet comme personne. Il devient très vite incontournable. Pour nous, pour la cuisine, pour les convives. Puis il s’intéresse au vin, jusqu’à les servir à l’Adresse, en érudit qui sait percer les envies de chacun. En empathie toujours. À proposer l’exceptionnel mêlé à l’accessible et à la convivialité.

En 2018, on initie notre bar à vins, Fulgurances en Face. On cherche un chef ou plutôt un aubergiste, aussi à l’aise en salle, aux vins, en cuisine. Max Tuckwell, bien sûr. L’histoire ne se souvient pas si on avait véritablement goûté sa cuisine avant. Ou si. Lors d’un événement Postrivoro en Italie en 2016 avec Chloé Charles qui lui avait permis de créer un plat en son nom : maîtrise des assaisonnements, intelligence du plat, fragilité, sans doute quelque chose autour de la betterave ou de la pistache, ses ingrédients fétiches. Chez Fulgurances En face, il a su créer une clientèle ne venant que pour lui, ses petites assiettes tantôt canailles ou élégantes, cette cuisine vive, incisive, faite de tous petits riens (une plaque exclusivement), une cuisine singulière qui ne ressemble à aucune autre. Max compose avec ses tripes. Il fait partie de ceux dont on dit qu’ils ont la grâce, de ceux qu’on n’oublie pas.

Aujourd’hui, après un premier lieu éphémère et délicieux « Piquette » (crée avec son complice Nicolas Phillips), devenu chef itinérant, il accepte de poser ses valises quelques mois à L’Entrepot.

Pour la première fois, il cuisinera avec une équipe dédiée à lui, avec une vraie et grande cuisine équipée. Nul ne sait encore ce qu’il fera. Il y aura forcément un peu de ses origines australiennes dans la création d’assiettes décomplexées, tantôt junk tantôt hautes coutures, il y aura de la fraîcheur, de la gourmandise, il y aura du mouvement, de la vie car rien n’est figé avec Max et c’est bien là sa grande force.

 

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Patrick Nguyen

juin - août 2022

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Ricardo Verdejo

avril - juin 2022

Ricardo Verdejo est aussi solaire que ses origines. Né à Santiago du Chili, il est très vite happé par le “sabor” comme il l’appelle; ce sont les goûts et les odeurs qui le mènent à la cuisine. Chez Borago avec Rodolpho Guzmán et chez 99 Restaurant auprès de Virgilio Martinez, deux restaurants très reconnus en Amérique du Sud, il commence à se forger une identité. Voyageur et curieux, il décide de partir à New York et travaille chez Cosme, Wildair, Verde des restaurants contemporains dans un registre tantôt haute cuisine tantôt plus immédiate et festive. En 2018, il part à Paris et vit une belle expérience au Clown Bar qui lui donne envie d’initier son propre projet. Au Mexique, par amour, il se lance dans une initiative itinérante et joyeuse, Flavo, qui allie son aspiration pour les légumes et pour la musique dans divers espaces et à travers plusieurs collaborations. Sa meilleure réponse à la pandémie de COVID 19. Après 15 mois, il est élu meilleur nouveau chef en 2020 par FOOD & WINE et l’un des “12 restaurants mondiaux nés de la pandémie” par 2021 WORLDS 50 BEST RESTAURANTS. Aujourd’hui, Ricardo Verdejo est prêt à ouvrir son nouvel écrin, Yella, un lieu vibrant, dédié à son approche du vivant qui passe par une vraie considération pour le légume, le sabor et la musique qui est intimement liée à sa vie.

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Sophie Le Prado

janvier à printemps 2022

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Erica Archambault

septembre - décembre 2021

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Sylvain Parisot

juin - septembre 2021

Très jeune, Sylvain sait que plus tard il ouvrira son restaurant. Il décide alors de se plonger à corps perdu dans la cuisine et de se former dans des établissements exigeants (Apicius, Lameloise, L’Arnsbourg, La Marine, L’Astrance, Elmer).

Pendant sa récente résidence chez Fulgurances dans le 11ème, Sylvain s’est enfin exprimé en son nom; on retient une cuisine singulière, ouverte sur le monde, sensible, intuitive et en même temps très précise et son association complètement addictive d’huitre, camembert et poire.

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Minou Sabahi

juillet - novembre 2020